Quiconque circule à pied dans l'entité est frappé par le nombre de tags sauvages et de graffitis qui défigurent notre environnement. La façade du hall de sport, l'école maternelle et le souterrain de la gare à Landelies, bon nombre de panneaux routiers, des cabines électriques, des abribus, ...
Le "clou" de ce triste spectacle : la façade arrière de la salle Henri Laloyaux à Landelies. Il n'y reste presque plus aucun espace non tagué !
Au mois d'octobre j'ai interpellé la majorité MR-cdH à ce sujet. Peu de réponses.
Le 19 novembre j'ai donc répété ma question : quel plan mettre en œuvre pour lutter contre les tags sauvages ?
Voici les réponses obtenues :
Toutes les villes et agglomérations sont confrontées à ce problème. Plusieurs administrations publiques ont mis en place un véritable plan de lutte contre les tags sauvages. Il se décline généralement en 4 axes :
Des jeunes (12-20 ans) sont formés et sensibilisés à l'art du graffiti par un graffeur professionnel. Ils réalisent ensuite des projets de dessin sur papier, qui sont soumis au Collège. Encadrés par le formateur les jeunes réalisent les projets retenus.
La ville de Manage a testé un projet semblable, soutenue par la Fondation Roi Baudouin. Certaines écoles qui accueillent des publics difficiles expérimentent avec succès ce genre de processus.
Et que pouvons-nous espérer à Montigny-le-Tilleul ?
Le Collège doit se montrer déterminé, entreprenant, prévoyant et créatif :
A bientôt !
Le "clou" de ce triste spectacle : la façade arrière de la salle Henri Laloyaux à Landelies. Il n'y reste presque plus aucun espace non tagué !
Au mois d'octobre j'ai interpellé la majorité MR-cdH à ce sujet. Peu de réponses.
Le 19 novembre j'ai donc répété ma question : quel plan mettre en œuvre pour lutter contre les tags sauvages ?
Voici les réponses obtenues :
- la peinture anti-tag coûte très cher
- on ne parvient pas à prendre les tagueurs en flagrant délit
- il n'y a pas unanimité au sein du Collège sur l'idée de réserver un espace d'expression aux tagueurs.
Toutes les villes et agglomérations sont confrontées à ce problème. Plusieurs administrations publiques ont mis en place un véritable plan de lutte contre les tags sauvages. Il se décline généralement en 4 axes :
- effacer les tags sauvages le plus rapidement possible
- sanctionner les auteurs de tags sauvages
- anticiper le problème en appliquant aux endroits sensibles des vernis ou peintures anti-tag
- réserver certains espaces publics à cette forme d'expression.
Des jeunes (12-20 ans) sont formés et sensibilisés à l'art du graffiti par un graffeur professionnel. Ils réalisent ensuite des projets de dessin sur papier, qui sont soumis au Collège. Encadrés par le formateur les jeunes réalisent les projets retenus.
La ville de Manage a testé un projet semblable, soutenue par la Fondation Roi Baudouin. Certaines écoles qui accueillent des publics difficiles expérimentent avec succès ce genre de processus.
Et que pouvons-nous espérer à Montigny-le-Tilleul ?
Le Collège doit se montrer déterminé, entreprenant, prévoyant et créatif :
- déterminé pour débusquer et sanctionner les auteurs de tags sauvages
- entreprenant pour effacer les tags sauvages dès leur apparition : la commune a investi dans une machine qui permet d'effacer les graffitis, mais qui a peu servi...
- prévoyant en appliquant un vernis antitag aux endroits sensibles
- créatif en permettant des réalisations de tags encadrées par des graffeurs professionnels.
A bientôt !
Le collège se fout des tags comme de sa première chemise. Les mandataires élus ont perdu toute conscience de ce que représente le "bien commun", l"intérêt général", le "service public" au service de tous et non au service de sa réélection ou de l'octroi indirecte de prébendes. Vous l'avez encore démontré avec l'ICDI: que fait le représentant de la commune au CA de l'intercommunale? Comment n'a-t-il pas posé ne fut-ce que des questions utiles à la compréhension du système mis en place et qui conduit à des incohérences néfastes pour l'argent du contribuable, l'environnement, la planète .... OOOh Gethsémani ....
RépondreSupprimerBonjour Francis,
RépondreSupprimerBien merci d'avoir eu cette réflexion car c'est un problème qui m'interpelle également.
Pour ton information, le Bourgmestre de Ham-sur-Heure a décidé de dresser un inventaire des tags avec les services de la Police et rechercher activement les auteurs pour indemniser les réparations.
Son but est la tolérance 0.
A Liège, même attitude mais 1 agent communal parcours journellement les rues pour effacer les tags et cela fini par dissuader les auteurs d'abandonner.
Encore un grand merci pour ton dévouement. Sincères salutations